...aux couleurs...

...de l'été.

Ah, vous avez vu la belle chute

Le Samedi 28 Juin 2003 à 16h29 :
Jacob 307 - 306 Alexandre

Tiens t'étais partis où ?

Au Antilles ?

Depuis hier à 13h, je suis à Marseille voir ma tante jusqu'à vendredi soir mais elle a l'ADSL donc je peux encore discuter avec vous à Marseille.

je ne vois pas du tout de quoi tu veux parler

ah, est-ce que à voir avec Marseille ?

Moi, ma première voiture, c'était une Peugeot !

... Et un jour, mes cousins, ils sont allés dormir chez ma grand-mère !...

... Alors j'ai dormi dans la chambre du bas parce que j'avais prêté mon pull !

- Excusez-moi... L'enterrement aura lieu mardi prochain.
OD- Mardi ? Eh non, mardi j'pourrai pas. Sinon je serais venue avec plaisir !
- C'est gentil... J'espère au moins que le soleil sera de la fête, ca sera plus gai, enfin, moins triste...
[...]

OD- C'est lui ?
- Non, ça c'est mon chien...
OD- Oh, bien sûr, oui...

- Combien de sucres ?
OD- Seize !
- Vous avez vu son dernier cadeau ? Il me l'a offert hier ! Un vrai capricorne, celui-là !
OD- Non mais, vous vous rendez compte qu'il a fallu un meurtre pour qu'on parle de mon film ? C'est quand même hallucinant, non ?
- Je lui dis : "Jacques, c'est de la folie, il faudra vendre la caravane..." Il me dit banco !

SANDY : AAAAAAHHHHHHHHH !
BENJAMIN : Du calme, Sandy, c'est moi !
SANDY : Oh, mon dieu Ben, il va tous nous massacrer !
BENJAMIN : Sandy, il faut toujours que tu dramatises ! Cet affereux Youri est mort ! Youri n'est plus qu'un affreux souvenir maintenant ! Cet affreux CAUch'mar est terminé !
SANDY : Oh Ben, il les a tués parce nous gagnions de l'argent ! Et dans son optique prolétairienne, le profit lui était insupportaaaable ! Il a massacré Jim [ahhhh !], Susan [ahhhh !], Maximilien [ahhhh !], et Toto aussi [SHHhhouuurwwwwwwwwaaiii !].
BENJAMIN : Je sais, c'est affreux, mais les Johnson arrievent ce soir, et je ne veux pas qu'ils voient ce massacre ! Va prendre un bain, il ne peut plus rien nous arriver d'affreux maintenant !
SANDY : La la la la la !
[Youri se relève]
Il ne peut plus rien...
BENJAMIN : Nous arriVER d'affREUX, mainteNANT !
SANDY : Ahhhh
BENJAMIN : Sandy, attention ! (boum !) Oh Sandy, j'suis désolé, c'est affreux !
SANDY : C'est pas grave, mon chéri, c'est pas grave du tout !

KARAMASOV : J'ai enquêté sur ce meurtrier, j'ai même une théorie la-dessus : je suis kouasiment sûr que nous avons affaire à un séwriawl killer !
ODILE DERAY : Quoi ?
KARAMASOV : Je suis kouasiment sûr que nous avons affaire à un séwriawl killer !
ODILE DERAY : Un quoi ?
KARAMASOV : Un séwriawl killer !
ODILE DERAY : Un ?
KARAMASOV : A un sériale killer, un tueur en série !
ODILE DERAY : Ah ! Un séwriawl killer !